Mes amours 5.3.7 : Chronique de "Civilization"

8 Août 2011 , Rédigé par ildblog Publié dans #Mes amours 5.3.X : Chronique d'un jeu de société

Comme je l'ai mentionné dans mon article "Mes amours 5.2", le "Civilization" que je possède est celui créé par Francis Tresham en 1980 et non pas le jeu de société tiré du jeu PC "Civilisation" de Sid Meier.

Bon, je suis honnête, je n'ai pour l'instant joué qu'une seule fois à ce jeu (et encore, la partie n'a pas été menée à son terme : on a commencé une partie à deux avec mon ami Frank à 22h30 avec une heure d'ingurgitation des règles du jeu et on a joué jusqu'à 4h00 du matin, moment où la fatigue et la nécessité de rentrer chez soi furent les plus fortes !). QUOI ?! MAIS C'EST UN SCANDALE !! OSER CHRONIQUER UN JEU SANS AVOIR ETE JUSQU'AU BOUT !!! Oui, bon, ne frappez pas, S.V.P. !!

La partie fut donc incomplète et parfois hésitante, mais elle m'aura permis de découvrir un jeu absolument phénoménal. "Civilization" est un jeu hors normes, capable de vous occuper une dizaine d'heures et de vous happer dans son univers - rien que pour ces deux raisons, il faut absolument aimer ce type de jeu pour s'y frotter. La richesse du jeu est sidérante (je ne l'ai qu'entrevue, mais elle est définitivement présente) et vous obligera à faire preuve d'une grande stratégie au travers d'une planification élaborée de chacun de vos mouvements. Le but est simple : faire prospérer le peuple dont vous êtes le chef en le faisant évoluer le plus rapidement possible sur le tableau de succession archéologique. Votre population se multiplie, migre sur la carte de la bordure méditéranéenne, doit se réunir pour former des cités. Elle peut faire des échanges commerciaux avec d'autres populations ou guerroyer en cas de présence multiple sur une même case, sans compter les catastrophes (petites ou grandes) qui pourront s'inviter sans prévenir. Avec le progrès, de nouvelles capacités s'offrent à vous, mais aussi des objectifs plus difficiles à atteindre...

Comme d'habitude, j'ai fait toutes les bêtises imaginables lors de cette première partie. Moi qui ne suis pas un très fin stratège, j'ai accumulé les bourdes. Mais j'ai quand même bien avancé sur mon tableau de succession archéologique et, au final, j'étais pas trop mécontent de moi !

Ma phrase fétiche n'était pas encore apparue dans cet article, alors je vous la livre maintenant en pâture : "le jeu est difficile à trouver !". L'édition la plus répandue de ce jeu est celle américaine par Avalon Hill, mais la mienne (dont vous voyez les photos ci-dessus) est la première édition britannique par Hartland Trefoil Ltd., gagnée sur le site d'enchères eBay - où vous pourrez aussi trouver l'édition Avalon Hill de ce jeu à un prix (ne) défiant (pas toujours) toute concurrence !!

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