N'oublions pas Michel...
Décidément, après Nits, Pink Floyd, Jean Michel Jarre et Vangelis, je suis définitivement dans une période musicale de mon blog. Je ne peux en effet clore cette série d'articles sans mentionner une autre grande référence de mon enfance : j'ai nommé Mike Oldfield.
Comme vous l'avez lu dans mes précédents articles, la musique synthétique a été l'un des fondements de mon expérience musicale. Le premier album de Mike Oldfield que j'ai écouté fut la compilation Episodes qui regroupait des longs instrumentaux de ses précédents albums Tubular Bells, Hergest Ridge, Ommadawn, Incantations, QE2 et Platinum. Comme avec Jarre et Vangelis, j'ai été immédiatement saisi par la beauté des mélodies et la pureté du son, comme si cette musique sans paroles me racontait une histoire.
J'ai ensuite découvert le Mike Oldfield "nouvelle formule" du milieu des années 1980 avec l'un de ses albums qui compte parmi mes favoris : Discovery. Qu'est-ce que j'ai pu me le passer en boucle, celui-là ! Mais comme je mets toujours trois siècles à découvrir les choses, ce n'est qu'au milieu des années 1990 que j'ai entrepris d'acquérir une partie de la discographie de Mike Oldfield, et je ne fus nullement déçu : j'ai ainsi pu dépasser les bases de la compilation Episodes que j'avais écoutée étant enfant et découvrir rétrospectivement tout le talent de cet artiste que j'écoute aujourd'hui toujours avec grand plaisir.
A bientôt !