L'électro m'élut tôt (partie 2/2)
Suite de mes amours musicales électroniques...
Mon enfance fut donc bercée par la musique de Jean Michel Jarre et celle d'un autre compositeur : j'ai nommé Vangelis Papathanassiou.
Comme Jarre, Vangelis faisait partie de ces grands noms de la musique électronique. Même si Vangelis était peut-être davantage pour le grand public associé à un compositeur de musiques de films ("L'Opéra Sauvage", "Antarctica", "Blade Runner", "Les Chariots de Feu", "1492 : Christophe Colomb"), il n'en restait pas moins un orfèvre en matière de mélodies accrocheuses, d'autant que je sentais moins la patte de l'instrument électronique chez lui que chez Jarre.
Sur la photo ci-dessus, vous pouvez voir quelques-uns des CDs de Vangelis en ma possession. Il a réalisé pas mal d'albums auxquels je suis très attaché - je cite pêle-mêle Albedo 0.39, Mask, Direct, The City ou Voices, sans oublier la fabuleuse bande originale de Blade Runner. Assez bizarrement, Vangelis est aussi l'un des rares artistes que je connaisse à avoir sorti un nombre conséquent de CDs de compilations diverses et variées. A l'instar de Jarre, il me semble également que Vangelis est un peu tombé en désuétude, mais comme disait l'acteur américain sioux Floyd "Red Crow" Westerman (1936-2007) dans un épisode de la série The X-Files, "une chose ou une personne vit aussi longtemps qu'une seule personne se souvient d'elle"...
Voilà, c'est fini pour ces deux épisodes de mon passé musical. Pour information, ce n'est que plus tard que je découvris d'autres sources musicales électroniques dignes d'intérêt, telles que Kraftwerk ou Tangerine Dream ; mais peut-être en reparlerai-je dans un prochain article...
A bientôt !